ZKM KARLSRUHE

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Nous avons eu la chance de nous rendre au ZKM, le musée des nouveaux média, en Allemagne a Karlsruhe. Ce musée nous proposait un ensemble de projection toutes différentes, dans plusieurs cadre. Certaines vidéos traitaient de la société, alors que d’autre se concentraient sur l’aspect esthétique. L’étage supérieur était consacré aux jeux vidéos interactifs. Les performances présentées m’ont beaucoup plu, notamment celle de Klara Liden, Kasta Macka ou l’on y voit la femme jeter des objets dans l’eau durant toute la journée, le tout accompagné d’une musique allant crescendo.

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Les installation des projections étaient très intéressantes : certaines étaient isolés dans un pièce entièrement noire, d’autre avait une installation spéciale, ou le spectateur devait se déplacé pour voir les vidéos.

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Même si j’ai été déçu par le musée d’art contemporain, les projections m’ont agréablement surprises.

Artiste : Little Shao

Little Shao est un photographe de 30 ans connu et reconnu pour ses photos des plus grandes stars de la danse. C’est devenu une véritable référence, et couvre des événements internationaux tel que le Juste Debout, et réalise également des campagnes publicitaires et des reportages. 

Ce photographe a réalisé plusieurs séries de photos, dont une qui m’a beaucoup plu et qui s’appelle Street Ballet. Le photographe a ainsi collaboré avec de grands danseurs classique, contemporain, moderne et pole dance. Il explique qu’à travers de ce travail, il a voulu transposer ces univers dans des milieux plus urbain, ou nous n’avons pas l’habitude de les voir évoluer « En effet, l’idée m’était venue depuis longtemps d’allier cet univers strict à mon coté très urbain. Attachant une grande importance à l’environnement extérieur des grandes villes comme Paris, New York, Los Angeles, Saint-Petersbourg ».

J’ai beaucoup aimé le contraste entre les danseurs classique et le décor urbain. Le photographe s’est réellement amusé avec ces modèles et met leurs corps en valeur. La contorsion des danseuse que je trouve très esthétique est mélangé à la brutalité de la ville, des voiture, des tags, deux mondes assez différents mais que Little Shao accorde parfaitement. A coté de la danse, le photographe a touché à d’autre projet comme par l’exemple en collaboration avec l’artiste Luigi Li. En effet, les deux artistes ont sorties une série de photos intitulée « Un sourire SVP ». Le but : attirer les regards sur les sans-abris avec comme simple accessoire une pancarte.

Certain penseront que c’est du manque de respect, moi je trouve ça plein d’humour et d’auto dérision. Les phrases ou « punchlines » écrites sont justement ici pour faire réagir les passants qui, la plupart du temps, les ignorent et ne daignent même pas de les regarder.

Ainsi, le photographe Little Shao, artiste touche à tous, nous fait aussi bien voyager son univers urbain que dans des clichés plus « moralisateurs », ce qui fait de lui un des mes photographes favoris.

Film : Elle s’appelle Ruby

Elle s’appelle Ruby ou de son titre original Ruby Sparks, est un film de Jonathan Dayton et Valerie Faris, sortie en 2012. Un écrivain, qui a du mal à trouver une inspiration, va suivre les conseils de son psychiatre et écrire ainsi une rencontre avec une jeune fille parfaite. Quelques temps après, cette jeune fille, Ruby, va lui apparaitre pour de vrai. 

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Moi qui habituellement n’aime pas les comédies romantiques, j’ai beaucoup apprécié celle-ci. Je l’ai trouvé en même temps touchante et drôle, on s’attache facilement aux personnages. Pour ma part, j’ai adoré le personnage de Calvin, le personnages principal, portrait un peu caricatural du jeune « intello » fragile et sans copine.

Malgré son étiquette de « comédie romantique », le film mêle un fait fantastique à une idylle amoureuse, qui le rend encore plus intéressant. Le personnage de Ruby qui m’a parfois énervé avec ses excès de colère ou son air mélancolique, mais a en même temps fait le charme du film, preuve que je me suis attachée au personnage principal. Je ne pourrais que reprocher le « happy end » auquel on s’attendait depuis le début, mais qui, je pense, fait plaisir à tout le monde !

Vidéo

Performance Expérimental Juste Debout

Je tenais à vous montrer une prestation qui me tiens vraiment à cœur (je n’ai pas pu trouver la vidéo de cette prestation seule, il faut vous rendre à 8min10). La performance de David Voigt m’a complétement fasciné par son audace. Ce dernier n’a pas gagné le prix, mais a largement été récompensé par l’encouragement du public. Ce danseur s’est différencié de ses concurrents, en jouant sur les mots et en réinterprétant la danse. J’ai trouvé cette performance géniale, remettant en cause toutes les règles établies dans ce milieu. C’est LA prestation que je retiendrais de ce Juste Debout 2014 (avec bien entendu la final Hip Hop).

Juste Debout 2014

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J’ai eu la chance d’assister dimanche dernier au plus gros événement mondial de danse Hip Hop : le Juste Debout. Cet événement crée par Bruce Ykanji en 2002 regroupe cinq catégories de la danse Hip Hop debout : Locking, Hip Hop New Style, House dance, Popping et Expérimental. Le Juste Debout qui avait débuté dans un Gymnase de Champs-sur-Marnes avec 330 participants a bien évolué, et se déroule aujourd’hui à Paris Bercy avec les 70 meilleurs danseurs du monde devant plus de 16 000 spectateurs. Ce festival mondial fut crée pour mettre les danses Hip Hop debout à l’honneur, car devancée par le Bboying (Break dance), très peu de grande battle proposé leur était proposée. Aujourd’hui, chaque année 4 juges de discipline différentes font le tour du monde pour sélectionner les meilleurs danseurs.

Cette année était un peu particulière, puisque ce Juste Debout est la dernière édition avant deux ans (Bercy va être en travaux pendant deux ans et les organisateurs du JD ont décidés de ne pas en faire pendant ce temps). A cette occasion, de nouvelles disciplines se sont vu représenter, comme la Dancehall et le Bboying. De nouveaux shows ont également vu le jour, mélangeant vidéos, danse et chant. Les finals étaient plus condensées en commençant aux quarts, contrairement aux autres années qui allaient des huitièmes jusqu’à final.

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J’ai vraiment beaucoup aimé cette édition du Juste Debout, même si je regrette un peu les années où il terminait à minuit. Le shows d’ouverture étaient très impressionnant, surtout lors de la venu de tout les danseurs par pays, accompagnés de la choral, un de mes moments préférés.

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Les ajouts des catégories de cette années m’ont un peu divisé : la discipline Dancehall, même si j’ai réellement adorée, que se soit la musique où les danseurs, je ne sais pas si on peut dire qu’elle fasse partie du mouvement Hip Hop. La catégorie Bboying, elle, m’a complétement déçu venant d’un événement dit « juste debout ». Ce dernier crée pour mettre en avant les danses debout se voit face à une catégorie totalement hors sujet. De surcroit, elle est venu remplacer le Top Rock, discipline certes que je n’aime pas trop mais que je trouvais importante étant donné qu’elle n’est pas souvent représenté. Une petite déception mais vite oublié avec les incroyables danseurs et l’ambiance terrible de la salle. Ce que j’aime dans cet événement, c’est que nous sommes libre de faire et de regarder ce que l’on veut. En effet, un peu à part de la grande scène se tient une petite salle appelée « La Boum », ou les spectateurs viennent se rencontrer dans des cercles et battles improvisés. Ainsi, lors de finals qui ne nous intéresse pas, nous pouvons aller voir autre chose. Ce que j’ai trouvé fascinant, c’est que même les catégories que je n’aime pas habituellement m’ont captivés et m’ont obligés à rester regarder.

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Enfin, après des finals exceptionnelles, nous avons eu la chance de rencontrer des grands danseurs.

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(Bruce Ykanji, danseurs, organisateur et créateur du Juste Debout)

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(Majid et Franky Dee les gagnants Hip Hop de cette année)

Le fait que cet événement soit très peu connu du grand public est dommage, car je pense que le mouvement Hip Hop est assez connoté, alors qu’il ne faut pas oublier que sa divise est : Peace, love, unity and having fun !

Happiness Therapy

Pat, un homme bipolaire sortant juste de l’hôpital psychiatrique, se voit obligé d’emménager chez ses parents après avoir perdu sa femme, sa maison, et son travail. Le personnage incarné par Bradley Cooper veut rester optimiste et tente tout ce qu’il peut pour reconquérir son ex-femme. Rapidement, il rencontre Tiffany, une jeune fille qui a eu elle aussi quelques problèmes, qui va lui proposer son aide pour reconstruire son mariage en échange d’un service. Un lien étrange va alors se développer entre Pat et Tiffany, qui vont tous deux reprendre gouts à la vie.

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Ce film de David O. Russell m’a beaucoup plu. J’ai trouvé les acteurs parfaits dans leur rôle, notamment Bradley Cooper et Jennifer Lawrence excellents dans ces personnages à la fois bizarres, incontrôlables et drôles. J’avoue avoir eu un apriori en lisant le résumé sur le programme télé qui le qualifié de comédie dramatique. Mais dès les premières minutes du film, j’ai de suite accroché au personnage de Pat, que je trouvais fou mais drôle. Malgré une histoire d’amour, on ne tombe pas dans le film à « l’eau de rose » et ressort avec un scénario assez original. Tout le film tourne autour de l’humour mais aussi de la folie et de ce qu’elle peut entrainer. Même si il reste dans la catégorie « Happy end Américain », j’ai beaucoup aimé ce film qui essaye de nous positiver !

Musée des Beaux Arts

Notre classe a eu le plaisir d’être choisi pour tourner une sorte de court-métrage pour mettre en avant l’option Histoire des Arts. Ainsi, nous nous sommes rendu au Musée des Beaux Arts, et avons reçu les consignes : nos professeurs nous distribuent à chacune un tableau au hasard sur support papier. Une première approche où le but est de noter tout ce que nous pouvons dire sur ce tableau. Après avoir noter le plus de remarques possible, nous pouvons enfin aller nous confronter en vrai à notre tableau. Ce deuxième temps nous permet de voir la différence entre l’œuvre sur papier et l’œuvre réelle.

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Mon tableau était une œuvre de Jules Bastien-Lepage Ophélie. A la vu du tableau sur papier, j’ai été surprise car je ne connaissais pas cet œuvre. Je ne trouvais pas beaucoup de choses à dire a part que le visage de la femme très expressif et la nature me faisait penser à une œuvre romantique. Arrivée devant le tableau, j’étais d’abord satisfaite de ces dimensions car ma crainte était de tomber sur un tableau assez petits. Ensuite, je pu me concentrer d’avantage sur l’expression du personnage, que je trouvais particulièrement bien faite, je pouvais presque ressentir sa douleur. Le tableau était peint comme une véritable mise en scène théâtrale. La nature derrière la femme semble sauvage, et fait rapidement, sans grande précision comparé au personnage et à son visage. La pâleur de sa peau accentue l’opposition entre elle et la nature. Le tableau donne l’impression d’être isolé, avec un vague château au fond de la toile. L’histoire de la toile reprend en fait le drame de Shakespear, Hamlet. Le peintre décide de peindre l’héroïne avant qu’elle ne tombe dans le ruisseau. On la voit donc au bord de ce dernier, les yeux mis clos ou regard hors champs, impliquant sa chute dans l’eau.

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Cette expérience m’a beaucoup plu, comme aussi l’interview de l’ancienne élève d’Histoire des Arts à laquelle nous avons pu poser des questions. Cette visite m’a rappelé combien j’aimais ce Musée, et m’a également fait découvrir des tableaux que je n’avais jamais remarqué.

Opéra Turandot

Turandot est un opéra en trois actes de Puccini, et poursuivi par Berto après la mort de l’auteur, datant de 1926. Cet opéra s’inspire d’un comte persans du moyen-age traduit au 18eme siècle. Il sera adapté par beaucoup d’artistes mais nous allons nous intéresser a la mise en scène de Gozzi.

L’action se déroule à Pékin, ou l’impératrice Turandot soumet ses prétendants à un “interrogatoire” en leur posant trois énigmes. Si ceux-ci donnent une réponse fausse, l’impératrice les envoie à la mort. Les grands thèmes qui sont ici dégagé sont bien sur l’amour, la mort et le pouvoir, sur un décor sombre et accompagné d’une musique orientale. Gozzi nous envois dans un décor futuriste, avec la mécanisation des homme qui met l’accent sur l’inhumanité de Turandot. Les personnages sont énigmatiques, lunaire, le climat est particulièrement pesant. Le palais  présent dans la première scène est un symbole de forteresse inaccessible qui rappel les caractéristiques de l’impératrice. L’opéra tourne autour de la question de l’identité, Turandot de connait même pas le nom de son prétendent. Nous relevons également la présence de la révélation de l’amour, le sacrifice que fait Liu révèle en effet que son amour est plus fort que tout.

J’ai trouvé cet opéra intéressant de prime abord par sa modernité avec les décors métalliques et cette impression de véritable usine autour de la scène avec les échafaudages. L’univers sombre et les mystères des personnages m’ont beaucoup plus. Les musiques aux sonorités japonaises était très bien joué avec un véritable sentiments “d’ailleurs” mettant le spectateur dans la situation et dans le thème du pays.

(Scénographie de David Pountey)

Les représentions de la décollation de Saint Jean-Baptiste

La décollation de Saint Jean Baptiste est un épisode du Nouveau testament qui nous décris l’exécution du Saint. Selon ce dernier, Hérodiade  a épousé le roi Ediode alors qu’elle était sa nièce. Cette union ignoble aux yeux de la religion est exposé par Saint Jean-Baptiste. Le saint est finalement emprisonné mais protégé par Hérode, de la volonté de Hérodiade de le tuer. Salomé, la fille de cette dernière, va alors être manipulé par sa mère, et va envouter par une danse son beau père Hérode. Celui charmé lui annonce qu’il lui donnera tout ce qu’elle demandera. Salomé, influencée par sa mère va alors lui demander la tête de Saint Jean-Baptiste sur un plateau. C’est de cette scène que plusieurs artistes de différents domaines vont représenter cette scène.

Nous allons commencer par les représentations dans la peinture. Nous avons l’exemple de la toile de Caravage Décollation de Saint Jean Baptiste datant de 1608.

Les corps pâles ressortent du décor sombre et lugubre de la prison. Tout les regards sont tournés sur le corps sans vie du Saint. Les membres des personnages, notamment la jambe et le bras du bourreau, forment une ligne vers le corps à terre. Le doigt du personnage se situant à côté désigne le plateau sur lequel la tête de Jean-Baptiste doit être posé. Nous remarquons le sang giclant de la gorge du défunt, rajoutant l’aspect violent et cruel de cette scène.

Nous pouvons également prendre l’œuvre La décollation de Saint Jean Baptiste de Pierre Puvis De Chavannes datant de 1869.

Le tableau est totalement différent de part ses couleurs et son décor mais aussi de sa représentation des personnages. En effet dans ce tableau, les couleurs sont beaucoup plus pâles, laissant apparaitre le saint au centre de la toile. Ce dernier a les paumes ouvertes, signe religieux faisant référence à Jésus, et le symbole de Saint Jean Baptiste qui est cette fine baguette. On peut remarquer que le haut de la baguette est croisé, comme pour représenter une croix, et illuminé par une lumière divine faisant encore une fois référence à la religion. Son bourreau est en train de passer à l’action, nous voyions le mouvement et l’élan de celui ci grâce à la véritable torsion qu’exerce son corps et les tissus volant. Son bras est en arrière et ses jambes écartées pour avoir une position d’équilibre parfaite afin d’avoir le plus de force possible. On note la présence de la femme se cachant les yeux, comme sur la toile précédente et une autre tenant le plateau, pareillement à la représentation ci-dessus.

Nous pouvons enfin parler du tableau de Louis Finson Décollation de Saint Jean Baptiste peint entre 1610 et 1615.

Contrairement au deux autres toiles, celle ci représente la scène à un stade plus avancé, puisque la tête est déjà sur le plateau. Le tableau est très sombre et on remarque beaucoup de personnage, ce qui donne une impression d’entassement. La scène représenté est très violente mais on ne voit pas de sang gicler, il reste discret. Les personnages du fond ne semble pas attentif à ce qui se passe et ne regarde pas la scène, même la femme portant le plateau regarde ailleurs. A la différence des tableaux étudié précédemment, on ne remarque pas la présence d’une pleureuse.

Le sujet de la décollation de Saint Jean-Baptiste n’a pas seulement inspiré des peintre mais aussi de artistes d’autre discipline. Nous avons ici un exemple de vitrail se trouvant à l’église de Notre Dame de la Forêt de Beaulieu-sous-la-Roche en France.

Les dessins sont entourés de traits noirs qui amplifient les couleurs et les détachent du décor. Les habits des personnages sont tous dans les tons rouge et brun, qui les différencient du fond et donnent une impression de profondeur. La scène est plus légère par rapport au tableau, puisque même si la tête posé sur le plateau rappelle la cruauté de l’acte, le cou de la victime est coupé et donc caché, et nous ne retrouvons aucune présence de sang.

Le mythe à également inspiré un artiste anonyme, qui va donner naissance à la sculpture La décapitation de saint Jean-Baptiste (1540-1560) se trouvant aujourd’hui au Metropolitan Museum of Art. La photo est une partie de cette sculpture, montrant le moment ou la tête du saint est déposé sur le plateau. Encore une fois, il n’y a aucune présence de sang. La tête de Jean-Baptiste nous fait remarquer l’homme est un vieil homme. C’est sans doute le choix de l’artiste puisque nous retrouvons le saint jeune ou vieux selon les œuvres.

Nous avons pu voir que le mythe de la décollation de Saint Jean Baptiste a inspiré beaucoup d’artiste, dans beaucoup de domaines différents.

Edvard Munch

Edvard Munch (12 décembre 1863 – 23 janvier 1944) est un des piliers de la peinture expressionniste. Ce norvégien qui grandit à la capitale, eu une enfance difficile. En effet, sa mère meurt d’une tuberculose alors que Munch n’a que cinq ans, quelques années après, c’est sa sœur ainée qui décède de la même maladie. Une de ses plus jeunes sœurs est ensuite reconnu souffrante d’une dépression et quand à son seul frère, il mourra peu de temps après son mariage. Cette perte successive des membres de sa famille a sans contribué à son goût pour le sombre et le bizarre.

La première approche que le peintre fait en tant que recherche sur les sentiments douloureux est lorsque sa sœur Sophie tombe malade. 

Sa toile L’enfant malade reflète la situation qu’il est en train de vivre. Malgré la critique qui sera négative, Munch fait une véritable recherche sur les sensations et les expressions des personnages.

Peu après son arrivé à Paris en 1889 pour ses études, il apprend la mort de son père. Il fut alors a partir de ce décès des toiles de plus en plus sombre, et utilise du ton sur ton.

Après maint voyages entre l’Allemagne et la France et des expositions, il connait un grand succès à Prague et y influence beaucoup d’artistes.

Tout comme son enfance, la fin de ses jours ne fut pas simple : il souffre d’hallucinations et de dépression mais aussi de problèmes oculaires (dont il va tirer plusieurs tableaux) pour mourir près de sa ville d’origine Oslo le 23 janvier 1944.